Dans la montée vers Hautacam, le maillot jaune et le maillot blanc reviennent sur les échappés. La première moitié du parcours de 128 km emmène le peloton vers Paris en passant par la vallée de Chevreuse. Au sommet de la côte de Châtillon-sur-Cluses (4,5 km à 3,9 %, 4e catégorie), Rolland récidive ; le peloton compte un débours de six minutes et trente secondes. Au sprint intermédiaire de Passy-Marlioz (km 123,8), Alberto Bettiol passe en tête avec vingt-cinq secondes d’avance sur l’échappée, dans lequel Christophe Laporte récupère les points au classement du maillot vert, et neuf minutes et trente secondes sur le peloton. Le début de cette étape est vallonnée, avec deux ascensions : la côte de Callissane (1,3 km à 5,5 % ; catégorie 4) au km 56 et le col de la Vayède (0,7 km à 7,4 % ; catégorie 4) au km 102, précédée chacune d’un sprint intermédiaire. Ensuite, les 80 derniers kilomètres sont pratiquement plats, avec un dernier sprint intermédiaire à Arles au km 118,5. L’arrivée sera jugée à La Grande-Motte, après 196,5 km depuis Marseille à travers les départements des Bouches-du-Rhône, du Gard et de l’Hérault. Le parcours de 196,5 kilomètres, reliait Marseille à La Grande-Motte.
Le parcours de cette étape passe dans trois pays. Les Parisiens traversent alors une période de creux, aucun match n’est disputé cette année-là et les entraînements se font rares. Malgré la sortie de la star portugaise Cristiano Ronaldo sur blessure à la 25e minute, la France ne parvient pas à trouver la faille et une frappe d’André-Pierre Gignac trouve le poteau dans le temps additionnel de la seconde période. Il est à remarquer que les Bleus pouvaient remporter un Grand Chelem s’ils avaient gagné contre les Gallois et non pas perdu 11 à 16. La France montre ses progrès en perdant au plus deux matchs par Tournoi, sauf en 1952 (trois), 1953 (trois également) et 1957 (quatre). Le parcours passe par la vallée verte, le col de Jambaz (6,7 km à 3,8 %, 4e catégorie) et la côte de Châtillon-sur-Cluses (4,5 km à 3,9 %, 4e catégorie). ↑ Jean-Guillaume Langrognet, « Tous les parcours du Tour de France du XXIe siècle compilés sur la même carte !
La course se termine à Paris, sur l’avenue des Champs-Élysées, lieu d’arrivée de la « grande boucle » depuis 1975. C’est la troisième fois que Rambouillet accueille le départ d’une étape : les éditions 1966 et 2012 s’étaient également conclues par un parcours entre cette ville et Paris. Quelques minutes plus tard, c’est cette fois-ci Pogačar qui finit à terre après une erreur de trajectoire dans un virage, il se relève rapidement et rejoint le maillot jaune qui sportivement l’a attendu. La première étape est un contre-la-montre individuel et il est remporté par l’Australien Rohan Dennis, de l’équipe BMC, qui devient ainsi le premier maillot jaune de ce Tour 2015. Il bat des spécialistes du contre-la-montre comme Tony Martin (2e) et Fabian Cancellara (3e) La deuxième étape, qui arrive en Zélande, est marquée par des bordures en fin d’étape. Au niveau des différents classements, le Slovène Tadej Pogačar (UAE Emirates) conserve les maillots blanc et jaune (finalement, Kämna termine deuxième du classement général, à onze secondes). Ci-dessous la liste des cyclistes comptant au moins 10 maillots arc-en-ciel (hors catégorie de jeune). Après la descente sur Cluses, l’itinéraire remonte la vallée de l’Arve, jusqu’à Passy-Marlioz (sprint intermédiaire, km 123,8). La longue montée vers l’altiport de Megève (19,2 km à 4,1 %, 2e catégorie) s’effectue depuis Saint-Gervais-les-Bains.
Il participe à la montée en puissance du club, jusqu’à être sélectionné en équipe de France par Roger Lemerre à l’été 2001 pour disputer la Coupe des confédérations. De par sa grande taille (1,88 m), il est un bon joueur dans le jeu aérien. Yacine Bammou est un joueur évoluant au poste d’attaquant de pointe, de milieu offensif et plus rarement en ailier droit. Benjamin Thomas lance le sprint, Nick Schultz et Magnus Cort Nielsen s’affirment comme les deux coureurs les plus puissants. Vingt-neuf coureurs forment le groupe de tête, qu’intègrent les quatre échappés : Thor Hushovd, Hayden Roulston (Cervélo Test Team), Lance Armstrong, Yaroslav Popovych, Haimar Zubeldia (Astana), Fabian Cancellara (Team Saxo Bank), Rubén Pérez Moreno (Euskaltel-Euskadi), Mark Cavendish, Bernhard Eisel, Bert Grabsch, George Hincapie, Kim Kirchen, Tony Martin, Maxime Monfort, Mark Renshaw, Michael Rogers (Team Columbia-HTC), Stéphane Augé, Samuel Dumoulin, Christophe Kern (Cofidis), Jérôme Pineau (Quickstep), Maxime Bouet (Agritubel), Linus Gerdemann, Fabian Wegmann (Team Milram), Cyril Lemoine, Fumiyuki Beppu, Koen de Kort, Simon Geschke, Jonathan Hivert, Thierry Hupond (Skil-Shimano). Jussi Veikkanen conserve son maillot à pois, les points de ce classements ayant été distribués entre les échappés. La France perd son titre de champion du Tournoi des Six Nations lors de l’édition 2011. Elle débute avec une victoire contre l’Écosse et l’Irlande, mais chute en Angleterre, puis en Italie sur le score de 22 à 21 (la première défaite française chez les Italiens dans l’histoire du Tournoi).
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